Les 20 ans du bac, c'était hier. Et c'était vraiment chouette.
C'était à la carte: il y en a qui ne sont venus que le matin, d'autres que l'après-midi. Certains avaient prévu de ne pas rester et ont fait durer. D'autre sont passés, puis repassés.
Ont participé à ce jubilé:
Christophe Cottet, Pascale Florentin, Bruno Gaidet, Christine Soyard, Nicole Usaï, Michel Vandelle, côté profs.
TES 1: Brahim Ayeb, Louis Chertemps, Romain Defargues, Thierry Gonzales, Emmanuelle Grosfilley, Béatrice Jean-Prost, Yannick Magnin, Mélanie Mougin, Emilie Nicollet, Emilie Parizot, Sophie Raymond, Nelly Rodriguez, Caroline Saive, Nathalie Salvi, Julien Vandelle.
Soit 15 élèves sur 32; 14 n'ont pas pu venir; 3 n'ont pas pu être contactés.
TES2: Julien Bordas, Benoit Deffradas, Yacine Djaariri, Chahira Kassam, Franck Millet, Julie Perret.
Soit 6 élèves sur 30, 8 n'ont pas pu venir, 16 n'ont pas été contactés, faute de liste de classe.
Vous retrouverez les photos sur l'Album photo.
Résumé de la journée
Nous étions dix-sept à visiter la Cité scolaire du Pré Saint-Sauveur le matin, à 10h30.
Nous n'avons pas reconnu grand chose, avec les dix-sept millions d'euros d'investissement réalisés ces dernières années.
Tout a changé: les préaux qu'on connaissait ont disparu, les foyers aussi, la salle des profs est à la place des salles d'éco, le réfectoire n'a plus rien à voir, le CDI, les dortoirs et les gymnase non plus... Le bâtiment E a rallongé, le bâtiment H a disparu...
Bref, il ne reste que le gros rocher dans la cour, le terrain de foot, le carrelage des cages d'escaliers, à n'avoir pas bougé. Et les armoires en bois au fond des classes.
Olivier Garrabos, l'intendant a eu la gentillesse et la patience d'assurer la visite à un groupe assez dissipé.
On a reconstitué une scène des années 1995-1996, dans une salle de cours: chacun a retrouvé sa place. Bruno Gaidet a fait l'appel.
Même les estrades ont disparu des salles de classe. Il a été demandé à Bruno comment il faisait désormais?
On a pu tester le réfectoire, avec un apéro...
En égards aux rhumatismes de certains de nos professeurs, nous avons opté pour la salle Bavoux-Lançon plutôt que pour le jardin gentiment mis à disposition par Nicole Usaï.
L'horaire d'arrivée Salle Bavoux-Lançon a été reporté à deux reprises, tant il est compliqué de faire bouger un groupe de retraités.
Avec ce que chacun a apporté, nous avions de quoi tenir un siège.
C'est ce que nous avons fait.
Ce que l'on peut entre autres retenir de ce long après-midi:
- les histoires de Tonton Brahim qui ont animé la journée et la soirée
- les photos inédites du voyage de Strasbourg, prises à l'appareil photo jetable et exhumées d'un placard de Christine Soyard
- les longs trajets de Louison -aller-retour depuis Nîmes sur la journée- et de Gonzo -aller-retour depuis Melun sur le week-end- pour participer aux festivités
- les arrivées aléatoires de Julien Bordas, Yacine Djaariri et ses enfants, Mélanie Mougin, Julie Perret, Chahira Kassam durant l'après-midi...
- les parties de foot avec le fils de Yacine, son petit pont sur Bruno, les présentations avec les filles et l'épouse de Brahim
- le passage surprise de Sophie Raymond et de son compagnon
- la fondue de Romain Defargues
- les conversations qui reprennent là où elles avaient été laissées
- certains faits prescrits ont désormais pu être divulgués
- les cahiers de notes rapportés par Michel Vandelle et Bruno Gaidet
- les appréciations du 1er trimestre par Bruno Gaidet
- la madeleine de Proust constituée par la lecture des livres de classe de l'époque, rapportés par Béa
- les absents étaient quand même là, vu le nombre de souvenir évoqués...
- le constat qu'aucun d'entre nous n'aurait son bac s'il avait à le repasser
- les qualités de descente qui n'ont pas faibli, vingt ans après... Le siège a été levé vers 19h le temps pour Franck, Julien et Benoit d'assurer le ravitaillement en bières
- le compliment de Brahim: "les filles de notre génération ont bien vieilli"
- la séance de tirs aux buts d'Allemagne-Italie, suivies sur le portable de Thierry
- le constat que finalement, on n'a pas fondamentalement changé...
- l'osmose qui perdure vingt ans plus tard: on n'a pas nécessairement gardé contact -on a même plutôt pas gardé contact- mais il y a un truc quand même, pour qu'on se retrouve avec nos profs et avec autant de plaisir.
Et la suite?
Du coup, il y a des demandes pour un renouvellement de l'opération.
Christine Soyard ayant signalé que dans 20 ans, elle aura 88 piges, il a été décidé de faire ça un peu plus rapidement.
Dans un an? Deux ans? Cinq ans?
Pour que chacun puisse lancer les invitations, recontacter un vieux copain / une jeune copine, je vous joins les contacts collectés au cours de cette opération des 20 ans du bac.
L'utilisation gracieuse de la salle Bavoux Lançon a été rendue possible grâce à l'intermédiaire de "l'Association des anciens élèves des collèges et lycées de Saint-Claude". En contrepartie, j'ai promis de faire tourner leur bulletin d'adhésion: avec le montant des cotisations, l'association participe au financement des voyages scolaires. Il n'y a évidemment aucune obligation.
La bise.
Ju.
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